mercredi 9 janvier 2013

60 Pourquoi le marxisme ne peut pas marcher

Pourquoi le marxisme ne peut pas marcher ? Parce que Karl Marx couchait avec sa bonne. Quel rapport ? Il est des plus simples :

Karl Marx avait une femme et une bonne. Comme tous bons bourgeois de l'époque qu'il était, il n'a jamais travaillé. C'est-à-dire, comme la plupart des gens, effectuer un boulot ennuyeux pour un salaire ou un gain misérable. Et il se tapait sa femme et sa bonne. Les contraceptifs n'existaient pas à l'époque. Et Karl n'utilisait pas de préservatifs, qui existaient déjà. Car il devait se dire « c'est si bon sans ! » Ce qui fait que les deux concubines sont tombées enceintes simultanément.

L'officielle a fait la gueule. Elle est restée au foyer. Mais un scandale risquait d'éclater à terme avec l'autre future mère, car on pourrait alors se poser la question : « d'où vient le bébé ? » Pour ne pas connaître de problème, le papa a obligé la bonne à se débarrasser de l'enfant en le confiant à une famille d'honnêtes ouvriers anglais. Ouf ! La morale était sauve et la réputation du monsieur avec.

Revenons-en à la théorie qui porte son nom. Si elle ne peut pas marcher, c'est tout simplement parce que si la théorie marxiste qui prétend amener la justice, l'équité, le bonheur, l'épanouissement pour tous est l'œuvre d'un épouvantable salaud, il est évident qu'elle est nécessairement fausse quelque part. Toute chose est marquée par son origine.

Dans les années 1970, l'arrivée de la pilule pour toutes a libéré les femmes et jeunes filles de France de l'angoisse de tomber enceinte chaque fois qu'elles couchaient. Résultat : ça baisait dans tous les coins durant quelques années, au point que certains ont parlé alors de « Révolution sexuelle ». Après, comme toujours en pareil cas, ça s'est calmé et pas simplement parce que le SIDA est arrivé.

J'ai entendu a l'époque de la « Révolution sexuelle » discuter deux jeunes militants politiques, grands dragueurs, très intéressés par les écrits de Marx. Ils s'enthousiasmaient fort à propos pour un aspect des relations entre Marx et son principal ami et collaborateur Engels : « tu as vu, dans leurs lettres, ce qu'ils écrivent au moment des congrès de l'Internationale sur les jeunes et jolies militantes socialistes... comme ils les appréciaient. Ils devaient en faire une vraie collection ! »

Je n'ai pas lu ces lettres, mais je veux bien le croire. Ainsi Marx n'a certainement pas engrossé que sa bonne. Il a dû aussi « mettre en cloque » une tapée de jeunes militantes. Moins proches de lui, ce n'était pas sa bonne, ces jeunes filles n'ont pas laissé leurs noms dans l'histoire du grand théoricien.

Pour ce qui est de leur grossesse, l'auteur s'est certainement exclamé intérieurement, comme tous bons machos : « c'est elles qui ont pris leurs responsabilités. A présent, qu'elles se débrouillent !! »

Ce texte cri du cœur est certainement un texte sacrilège pour tous les adorateurs de Marx. Alors, quitte à se faire mal voir, ajoutons-en pour se faire rejeter par les adorateurs d'un autre Dieu : Freud.

Selon Freud nous serions tous victimes du « complexe d'œdipe ». Il se trouve que papa Freud a « analysé » sa fille Anna. Celle-ci est devenue une farouche partisane de la théorie psychanalytique, ne s'est jamais mariée, n'a pas eu d'enfants et a été la garde-malade de son vieux père. Si on suit la théorie de ce dernier, analyser sa fille est pour un père un acte incestueux. Allons plus loin : et Freud ne se serait-il pas aussi tapé sexuellement sa fille, comme cela arrive dans quantité de familles et reste secret ? Ce qui m'amuse terriblement, bien que le sujet soit triste et tragique, c'est que chaque fois que j'avance cette hypothèse, je vois les admirateurs de Freud pousser de hauts cris. Selon eux, ce n'est pas possible. Et pourquoi pas ? Et pourquoi tant d'indignation ?

Basile, philosophe naïf, Paris le 9 janvier 2013

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